Pour voir encore mieux la ville de Santiago, nous allons devoir monter plus haut sur le Cerro Santo Cristobal. En nous y rendant, nous repassons pas la PLaza de Armas qui est aujourd'hui sous le soleil, puis nous traversons aussi à nouveau le Parque Forestal.
Au pied du mont, le poste d'information nous indique qu'il faut 2h de montée à pied pour atteindre le sommet, qui est aussi accessible en téléphérique! Vous nous connaissez, on ne recule pas devant ce genre de défis... (et devant une économie aussi) et on a bien fait!
Il nous a fallu 45 minutes pour monter! Et contrairement à ce qui est écrit dans le Lonely PLanet, la route n'est pas à partager avec les voitures, il y a au contraire un chemin pour les marcheurs! Encore un guide qui n'a pas dû venir!
De là haut, la vue est surprenante : à un premier niveau, il y a la ville puis au-dessus le gros nuage de pollution et enfin les Andes enneigées qui se dégagent au-dessus de tout ça!
Et pour se récompenser de ce petit effort de grimpette, en plus de ces majestueuses montagnes, nous dégustons une spécialité : "Mote con huesillos". C'est du blé dans du jus de pêche et des pêches, étonnant mais bon!
Nous redescendons dans Santiago pour visiter le musée d'art pré colombien. Avec beaucoup de panneaux explicatifs, ce musée est très intéressant car il présente des coutumes des civilisations précolombiennes en Amérique du Sud. Nous apprenons beaucoup de choses!
En sortant, nous voulons absolument goûter au "terremoto" (littéralement tremblement de terre) qui est un coktail chilien fait de vin pas cher versé sur une boule de glace et auquel est ajouté un sirop.
Nous entrons dans le bar "la Piojera" adresse recommandée par les chiliens rencontrés à Auckland. De l'extérieur, on s'attendait à un petit bar calme, et en entrant nous sommes stupéfaits : il y a un monde fou, tout le monde avec un verre de terremoto à la main, et tous les âges mélangés (à partir de 18 ans quand même) jusqu'à 70 ans au moins!
Au pied du mont, le poste d'information nous indique qu'il faut 2h de montée à pied pour atteindre le sommet, qui est aussi accessible en téléphérique! Vous nous connaissez, on ne recule pas devant ce genre de défis... (et devant une économie aussi) et on a bien fait!
Il nous a fallu 45 minutes pour monter! Et contrairement à ce qui est écrit dans le Lonely PLanet, la route n'est pas à partager avec les voitures, il y a au contraire un chemin pour les marcheurs! Encore un guide qui n'a pas dû venir!
De là haut, la vue est surprenante : à un premier niveau, il y a la ville puis au-dessus le gros nuage de pollution et enfin les Andes enneigées qui se dégagent au-dessus de tout ça!
Et pour se récompenser de ce petit effort de grimpette, en plus de ces majestueuses montagnes, nous dégustons une spécialité : "Mote con huesillos". C'est du blé dans du jus de pêche et des pêches, étonnant mais bon!
Nous redescendons dans Santiago pour visiter le musée d'art pré colombien. Avec beaucoup de panneaux explicatifs, ce musée est très intéressant car il présente des coutumes des civilisations précolombiennes en Amérique du Sud. Nous apprenons beaucoup de choses!
En sortant, nous voulons absolument goûter au "terremoto" (littéralement tremblement de terre) qui est un coktail chilien fait de vin pas cher versé sur une boule de glace et auquel est ajouté un sirop.
Nous entrons dans le bar "la Piojera" adresse recommandée par les chiliens rencontrés à Auckland. De l'extérieur, on s'attendait à un petit bar calme, et en entrant nous sommes stupéfaits : il y a un monde fou, tout le monde avec un verre de terremoto à la main, et tous les âges mélangés (à partir de 18 ans quand même) jusqu'à 70 ans au moins!
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