jeudi 23 décembre 2010

Mardi 14 Décembre 2010 : La panne!

Après un réveil tranquille, nous prenons le petit-déj' sur la terrasse de l'hôtel. Ensuite, nous allons nous balader dans le centre tout proche : l'avenue de l'indépendance, l'hôtel de ville, la gare... Nous montons, après le déjeuner, un peu sur les hauteurs et redescendons à travers un marché. Tana est composée de 18 collines, ce qui fait qu'il y a sans cesse des montées et des descentes...





Nous revenons à notre hôtel pour récupérer nos bagages. Nous avons une adresse un peu mieux de la part de Myriam (coordinatrice Asmae à Tana). Il faut déjà réussir à prendre un taxi et, aussi, à bon prix! Au final, une deudeuche nous accepte mais le taximan ne parle pas bien français. Ce qui est un peu embêtant car nous ne connaissons pas l'emplacement exact de l'hôtel. Bon, un coup de fil (grâce à notre carte SIM nouvellement achetée) et hop, c'est reparti!

Maintenant, il y a des bouchons... Et la deudeuche a du mal à redémarrer (oui, car à chaque descente, ici, les taxis coupent leur moteur pour économiser l'essence). Au milieu d'un bouchon et après un redémarrage, notre conducteur casse la pédale d'embrayage! Aïe! Ca va être dur dur de repartir...



Il essaye de réparer la vis cassée (!) sans succès (!!). On lui demande d'expliquer à un autre taxi l'endroit de l'hôtel mais uen fois changé de taxi, raté : il n'a pas expliqué! Et nous n'avons plus de crédit téléphone!
On se retourne pour aller lui demander (il n'a pas pu aller bien loin avec une pédale d'embrayage cassée, en moins de 2 minutes) mais non! Il a disparu de la route! Pourtant, on ne l'a presque pas payé... étrange...

Le nouveau conducteur connait la "direction générale" et en route, on essaye de racheter du crédit. Finalement, on réussit à rappeler, la responsable explique au nouveau conducteur et on arrive en quelques minutes. Durée totale du trajet : 2h alors qu'on aurait dû mettre 20mn tout au plus...

Le soir, après cette expérience épuisante, nous allons manger dans une gargotte.

2 commentaires:

PtiteRolK a dit…

Lol !! je connaissais le coup de couper le moteur dans la descente, mais par contre on m'avait jamais fait le coup de la pédale d'embrayage cassée... finalement, la course n'a pas été trop chère ?
ahlalala, les joies de Madagascar :)

Maxime a dit…

Il voulait même pas qu'on le paye!
On lui a donné quand même quelquechose, on avait fait la moitié du trajet!