Nous rejoignons le centre de Bobo en taxi, juste à côté du marché central. On passe près des étals à l'extérieur pour se rendre à un café réputé, "la bonne miche". Au menu du petit-déj : pains aux raisins! On se croirait un dimanche matin chez nous...
On décide ensuite d'aller voir la mosquée, dont l'architecture soudanaise en fait un monument original et tout à fait bien inséré dans son environnement.
Pas loin se trouve la vieille ville.
On décide ensuite d'aller voir la mosquée, dont l'architecture soudanaise en fait un monument original et tout à fait bien inséré dans son environnement.
Pas loin se trouve la vieille ville.
Nous avons déjà été abordé par au moins 6 "guides" depuis ce matin (sans compter les vendeurs) mais là, c'est encore pire. Toutes les 2 minutes, il y en a un nouveau qui s'approche de nous (Les meilleurs sont ceux qui nous disent : "Ah oui, Dijon, j'y suis allé au festival de musique Oléron")!
Et après, il semble y avoir un ticket d'entrée mais il n'y a aucun panneau officiel ni aucune indication!
On se balade au hasard des ruelles, quand un de ces guides devient un peu agressif. Alors on décide de repartir tout de suite vers le centre!
On revient au marché et cette fois, on entre dans la partie intérieure. On y fait même un achat négocié dans les règles de l'art, en prenant son temps, de 100 FCFA en 100 FCFA (0.15 €).
Une petite pause à l'ombre d'un restaurant et c'est reparti. Nous marchons un long moment pour arriver au musée de la musique. Une petite structure très intéressante. D'abord un film sur les rôles des instruments de musique dans la vie burkinabè puis une visite commentée. On découvre des instruments insoupçonnés, parfois dont on ne sait pas bien comment en jouer. Les explications sont alors bien nécessaires.
On découvre un pan de la culture burkinabè jusque là inconnu, lié à l'animisme.
Ce soir comme hier, nous dinons dans un maquis près de l'hôtel.
Et après, il semble y avoir un ticket d'entrée mais il n'y a aucun panneau officiel ni aucune indication!
On se balade au hasard des ruelles, quand un de ces guides devient un peu agressif. Alors on décide de repartir tout de suite vers le centre!
On revient au marché et cette fois, on entre dans la partie intérieure. On y fait même un achat négocié dans les règles de l'art, en prenant son temps, de 100 FCFA en 100 FCFA (0.15 €).
Une petite pause à l'ombre d'un restaurant et c'est reparti. Nous marchons un long moment pour arriver au musée de la musique. Une petite structure très intéressante. D'abord un film sur les rôles des instruments de musique dans la vie burkinabè puis une visite commentée. On découvre des instruments insoupçonnés, parfois dont on ne sait pas bien comment en jouer. Les explications sont alors bien nécessaires.
On découvre un pan de la culture burkinabè jusque là inconnu, lié à l'animisme.
Ce soir comme hier, nous dinons dans un maquis près de l'hôtel.
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